La directrice de l’Agence nationale de la recherche scientifique appliquée (Anrsa), le Pr Aïssatou Sophie Gladima Siby, n’est pas une bureaucrate. C’est une géologue qui a cartographié les forces et faiblesses de la nappe du maestrichtien sous différents angles. Ses travaux ont permis de répertorier les zones où l’eau est salée et celles où elle est douce.

La jeune Aïssatou Sophie est une catholique pratiquante. A l’âge de 15 ans, elle se rendait au monastère de Keur Guilaye, non loin du célèbre monastère de Keur Moussa, pour une retraite

Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Mary Teuw Niane, a souligné, samedi, à Saint-Louis (nord), la nécessité de perfectionner l’usage du français par les élèves au Sénégal, en vue de la maîtrise des mathématiques, qui sont enseignées dans cette langue.

"Il est indispensable de développer le français, langue d’apprentissage au Sénégal, pour arriver à une maîtrise des mathématiques par les élèves. Il est impératif de comprendre la langue.

L’élève a besoin de raisonner pour comprendre l’écriture mathématique", a-t-il dit.

Le secrétaire d’Etat portugais à l’Internationalisation, Jorge Costa Oliveira, a souhaité mercredi à Dakar l’adhésion du Sénégal au projet Azores International Research Center (AIR Center), qui est dédié à la recherche scientifique sur les océans.
"Nous avons engagé plusieurs pays dans [nos] projets de recherche, dont le plus ambitieux est l’AIR Center. Nous sommes engagés dans ce projet avec les Etats-Unis, la Norvège et d’autres pays européens. Nous espérons le Sénégal puisse aussi se joindre ces pays", a dit M. Oliveira dans une interview avec la rédaction de l’APS.
Selon l’officiel portugais, cette structure offre aux pays qui y ont adhéré plusieurs possibilités, dans le domaine de la recherche océanographique.

La filière Sciences de l’ingénieur de l’Université de Thiès (ouest) a formé, depuis 2011, "plus d’une trentaine d’étudiants" en master-recherche, dont la plupart servent actuellement dans des structures publiques et privés du Sénégal, a-t-on appris d’un de ses responsables.
D’autres sortants sont engagés par des établissements privés de formation d’ingénieur ou des institutions d’enseignement supérieur, a indiqué Déthié Sarr, responsable du master de recherche en géotechnique, mécanique des sols et modélisation des terrains de l’UFR Sciences de l’ingénieur de Thiès.

Le Portugal souhaite mettre l’expertise de ses entreprises au service du Sénégal pour la réalisation de la "Cité du savoir" et la vulgarisation des Espaces numériques ouverts (ENO), a annoncé mercredi le secrétaire d’Etat portugais à l’Internationalisation, Jorge Costa Oliveira.
"Les ENO ont un énorme potentiel. C’est une excellente idée du gouvernement parce que c’est une façon intelligente d’offrir aux étudiants un cadre technologique performant, qui peut s’étendre jusqu’à la télémédecine".
Le Portugal "a beaucoup d’expérience dans ce domaine" et compte des entreprises qui peuvent y apporter leur contribution, a dit M. Oliveira, en faisant part de l’intérêt de son pays pour le projet de la "Cité du savoir", à travers une éventuelle contribution de certaines entreprises portugaises.

Dans le cadre de son colloque international sur le thème : « DÉVELOPPEMENT ET GOUVERNANCE DES TERRITOIRES EN CONTEXTE DE DÉCENTRALISATION RENFORCÉE : CONTRAINTES ET PERSPECTIVES » prévu du 18 au 19 Avril 2017, l’UFR ECOMIJ de l’Université Alioune Diop de Bambey vous invite à présenter une communication articulée autour des axes ci-dessous identifiés :

Axe 1 : Gouvernance et Pouvoir local