Campuzine

Le Conseil pour le développement de la recherche en sciences sociales en Afrique (Codesria) a mis à la disposition de sept institutions africaines d’enseignement supérieur et de recherche et cinq universités publiques du continent, 21771 d’ouvrages. Ce don d’une valeur d’environ 105 millions de F CFA vise au renforcement aussi bien du capital humain de l’Afrique, que de son leadership et citoyens.
Soutenir les bibliothèques des universités et institutions africaines en mettant à leur disposition des centaines d’ouvrages produits par des chercheurs africains, c’est l’objectif du Conseil pour le développement de la recherche en sciences sociales en Afrique (Codesria). Il l’a matérialisé, ce jeudi 6 octobre à son siège à Dakar, en mettant à disposition 21771 ouvrages à sept institutions africaines d’enseignement supérieur et de recherche.

Quatre cents (400) thèses et mémoires soutenus en France par des étudiants sénégalais bénéficiaires d’une bourse étrangère seront rapatriés, numérisés et mis à la disposition de la communauté universitaire. Depuis plusieurs années, ces précieux documents étaient en souffrance, à Paris, au Service de Gestion des Etudiants Sénégalais à l’Etranger (SGEE).
Alors que tout le monde s’accorde pour dire que la formation des ressources humaines est la voie la plus indiquée pour atteindre l’émergence, les étudiants et chercheurs sénégalais sont privés (par négligence ?) d’une importante mine de savoirs. En effet, depuis plusieurs années, des centaines de thèses et de mémoires soutenus par des étudiants bénéficiaires d’une bourse étrangère, étaient en souffrance, à Paris, à la salle des archives du Service de Gestion des Etudiants Sénégalais à l’Etranger (SGEE).

L’Institut Confucius Sénégal de l’Ucad et l’Université de Gannan, en Chine, ont scellé une alliance par le biais de la culture. Des productions artistiques ont émerveillé et fait la joie des deux parties, vendredi dernier, au campus de la Faculté des Sciences économiques et de gestion de l’Ucad (Faseg). Chants, instrumental, danses et figures d’arts martiaux ont enrichi le menu de ce spectacle sino-sénégalais que le public a digéré avec enthousiasme. Dans le cadre de la coopération culturelle sino-sénégalaise, après un spectacle au Grand théâtre, les activités se sont poursuivies, vendredi dernier, au campus de la Faseg de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Placées sous le signe de la culture et de l’amitié sincère, sous l’égide de l’Institut Confucius et de l’ambassade de Chine au Sénégal, ces rencontres,

Au niveau de l’enseignement supérieur au Sénégal, on recense 1.700 étudiants marocains. Ils sont régulièrement inscrits dans les universités publiques et privées pour suivre les filières telles que la médecine, l’ingénierie, l’agriculture et les sciences politiques.

À quelques jours de la rentrée universitaire, la Ligue des étudiants marocains du Sénégal s’active. En partenariat avec le ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche, le Centre des œuvres universitaires de Dakar (COUD), elle compte accueillir, début octobre, 300 étudiants venant du Maroc comme chaque année. En attendant, le Maroc compte 1.700 étudiants sur le territoire sénégalais inscrits dans les universités publiques et privées.